Top 14 – “Nanterre de Bretagne”: Comment la folie de Breton a saisi l’arène à Celébro le RC Vannes

Top 14 – “Nanterre de Bretagne”: Comment la folie de Breton a saisi l’arène à Celébro le RC Vannes


Combien de partisans de Breton y avait-il samedi à Paris-La Defense Arena? 3000? 4000? Plus loin? Le fait demeure que cette incroyable ferveur a permis au Vannetais promu de jouer à Nanterre comme il le fait généralement au Rabine…

Depuis que les courses 92 ont abandonné la lourde tourbe de Créteil pour réinvestir la Paris-La Defense Arena, la foule est d’environ 9 500 spectateurs «payés», il étant entendu ici que la vague d’invitations qui a inondé la salle de performance dans ses locaux a maintenant disparu de la paysage. Il y avait donc 10 000 spectateurs pour la réception de l’USAP, 10 200 personnes le jour où le Lou a établi le trottoir de défense et 1000 de moins lorsque l’Olympique de Castres est arrivée fin janvier. Samedi soir? Les dirigeants de Paris-La Defense Arena ont annoncé 18092 spectateurs, plaçant le match de la peur entre la course 92 et le Vannetais promu sur le podium du week-end, derrière Lyon-La Rochelle (19 500 spectateurs) et le choc vrai de ce seizième jour, entre Clermont et Toulouse (plus de 19 000 spectateurs).

De facto, il existe deux façons d’expliquer le succès populaire de cette réunion entre deux équipes en danger et bien que l’île de-France ait été vidé de sa moelle pendant plusieurs heures (la zone C est en vacances): vous pouvez penser que Le concept «Racing Live», qui donne aux détenteurs de billets de match l’occasion d’assister à un concert de quatre étages avec le coup de sifflet final (samedi soir, c’était DJ International Kavinski), commence à s’installer dans le paysage des offres d’Ile -de -france; Nous pouvons également considérer que la diaspora de Breton installée dans la capitale et les quelques milliers de supporters qui sont venus directement de Morbihan ont permis de donner à l’enceinte de Nanterre l’apparition de phases finales.

Lafage: “Ils sont là partout, tout le temps, à tous les temps…”

Dans le vrai, nous avons rapidement compris, en nous promenant dans Paris-la Défense-Arena samedi après-midi, que l’effrenscence de la journée n’avait rien à voir avec celle des semaines précédentes: tout autour de nous, c’était donc une procession incessante de Blue Jerseys, une procession de binous et une masse de drapeaux breton. Lorsque la colonie de Vannet s’est ensuite rassemblée dans les tribunes, elle a donné à la Hall de la Performance un visage ardent, PiaLillard, fiévreux et que nous avions perdu de vue, au cours des deux dernières années à Nanterre. Combien y en avait-il, ces fadas qui ont hurlé «Allez, les blues!, Allez, le blues!» »» ET «Ici, ici, c’est Rabine!» »» ? 3000? 4000? Plus loin? Nous ne les avons pas comptés, mais c’était juste fou! C’est même à ce nouveau point qu’avant ce match, les diasporas Auvergne ou Toulouse – ceux qui déplacent historiquement un plus grand nombre à Nanterre ou Jean Bouin – n’avaient jamais atteint un tel nombre.

Lors d’une conférence de presse, l’ouvreur Vannetais Maxime Lafage, auteur d’un match à couper le souffle samedi après-midi, a expliqué: «Nos supporters, iIls sont là partout, tout le temps, en tout temps… ils étaient même là au Pays de Galles (à Llanelli, ndlr) Dans European Challenge… c’est fou, quand on y pense. Et Clair, On est beaucoup basé sur ce public qui nous donne souvent Le supplément de l’âme aux meilleurs moments. »» Logiquement plus stoïque que Lafage, parce que positionnée dans l’autre camp, le directeur de Racing 92 Patrice Collazo a expliqué pour sa part: « Franchement, il ne prend pas en compte, À mon avis. Si leurs partisans étaient tous entrés sur le terrain, cela aurait été plus ennuyeux… mais à partir du moment où ils sont assis sur un fauteuil… […] Ce n’était pas le bruit Vannetais qui a fait que nous étions trop indisciplinés… » De toute évidence, non…

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